Traditions et aversions : vive le Nouvel An !
Je fuis d'ordinaire les clichés liés à l'arrivée d'une nouvelle année : je déteste...
- les fêtes de réveillon de Nouvel An (j'ai déjà connu mon réveillon idéal lors de la tempête de 1999, qui avait privé une bonne partie de la France d'eau, de gaz, de téléphone et d'électricité pendant plusieurs jours au moment des fêtes de fin d'année : une soirée blottie sur un canapé, face à un feu de cheminée -seul mode de chauffage disponible...-, un verre de bon vin à la main, en compagnie de ma Maman et de mon chien, mon chéri étant quant à lui avec les siens. Finalement, il ne manquait guère qu'un peu de bonne musique en fond sonore, et éventuellement un bon bouquin, en fin de soirée !),
- ce que j'appelle "la corvée des cartes de voeux" (c'en est vraiment une, pour moi, d'autant que çà m'exaspère tellement que je fais un blocage complet !),
- et les résolutions de nouvelle année, celles qu'on ne fait que pour mieux les fouler aux pieds par la suite.
Et pourtant, ces traditions n'ont pas que du mauvais, tout au moins pour les deux dernières : l'échange de cartes de voeux permet parfois de renouer contact avec des gens à qui on n'a pas envie de renoncer, sans pour autant avoir le temps (ou la matière !) d'avoir une relation suivie, ou d'adresser un petit clin d'oeil à des amis de coeur avec qui on est trop peu souvent en contact, bien que le lien, lui, reste solide malgré le temps et la distance. Je sais. Mais çà me crispe quand même de devoir répéter sur 50 cartes en 10 jours les mêmes voeux, les mêmes souhaits, les mêmes infos nous concernant...
Quant à la tradition des résolutions, la date du changement d'année n'est finalement qu'un symbole, l'occasion de dresser un bilan et d'envisager l'avenir...
Alors soit, j'ai décidé de me prêter au jeu, cette année ! Pour les cartes de voeux, je ne peux rien vous garantir, mais pour le bilan de la situation et mes projections dans l'avenir, je veux bien essayer. La suite au prochain numéro ?