Du côté de mes pieds...
... ou plutôt, du côté de ceux de ma Maman, j'ai donc remis mon ouvrage sur le métier (en l'occurence, un joli jeu de cinq aiguilles 2,5 mm en bambou), et une conclusion s'impose :
1. je ne suis vraiment pas douée en maths : partie avec 72 mailles au montage, je me retrouve dès le 2e rang avec une maille supplémentaire. Et devinez d'où elle vient ? bingo ! toujours ma dernière maille, qui se scinde en deux, cette fois, sans que je parvienne vraiment à m'expliquer comment ;
et 2. le jonglage à 5 aiguilles, finalement, c'est pas si pire, comme dirait l'autre. En revanche, ma 2e tentative risque à son tour de retourner en pelotes, pas tant à cause de ma 73e maille (non, celle-là, j'aurais pu m'en accommoder), mais surtout parce que décidément, le haut de ma chaussettes serait vraiment trop moche. Je vais avoir du mal à vous l'expliquer sans photo, et je n'ai pas le coeur à déranger mon vieux wouf, qui ronflotte doucement, calé contre ma cuisse, mais comment dire ? J'ai comme un trou au niveau de la jointure entre la 1e et la dernière maille. Et çà me déplaît. Fortement.
Des suggestions, avant que je ne commette l'irréparable ?
Oh ! son maître a émis un râle d'exaspération parce qu'il s'était planté à son jeu de voitures sur PC, et dans son sommeil, mon chien a cru que çà lui était destiné - du coup, il est descendu du canapé, encore à moitié endormi ! Pôvre !!
Et hop ! ni une, nie deux, j'en profite, je choppe l'APN :
Là, vous voyez ce que je veux dire ?? J'ai décalé mes "blocs" de mailles de quelques mailles pour mieux voir, et y'a pas à chiquer : c'est bien un trou, un énôôôrme trou qu'il y a là ! Misère...
Bon, pour finir sur une note plus optimiste... Demain, j'essaye de négocier avec ma boss en lui expliquant pourquoi c'est cette semaine-là et pas une autre que je veux, que je dois poser, et je harcèle l'office de tourisme de Strasbourg jusqu'à ce qu'ils me dégottent mes deux ou trois nuits, du 19-20 au 21-22, dans un petit hôtel charmant et dans mes prix ! Ah mais ! Va falloir arrêter de me prendre pour un paillasson, là, les amis !!!
Et en attendant, histoire de calmer un peu mes nerfs avant une nuit que j'espère plus reposante que les précédentes, je vais aller lire quelques pages de Marc Lévy sous ma couette douillette...
Bonne nuit les filles !